Petit QUIZZZZZZZZ

[Bruguière]

Cherchons nous un aubergiste ?

[BUSSY]

Oui mon général!

[Bruguière]

Serait il question du Patronyme de ce soldat ?

[BUSSY]

Non...!

[Belliard]

Une auberge qui est devenue célèbre...?  

[BUSSY]

Je n'ai pas dit qu'elle était devenu célèbre...

Mais indice supplémentaire:
Au moment où s'est déroulée l'anecdote on peut regretter qu'internet n'exitait pas, parce que sans aucun doute...l'infortuné aurait déposé son témoignage sur le site: "vie de merde.com"...

[Belliard]

Vie de merde heu....Comme George Abitbol..

[BUSSY]

Il faut absolument que je regarde ce film...heu ce Flim

mais non!

[baurya]

Serait ce le soldat Coluche ?

[D.C. Parquin]

Thénardier si tristement célèbre!

[BUSSY]

Une bonne réponse de notre ami Baurya...

Le Soldat Coluche.

Au soir du combat d'Elsberg, le 3 mai 1809, l'Empereur s'installe pour la nuit dans une maison. Un fantassin est chargé de monter la garde devant la porte. Sans doute sorti avant l'installation du factionnaire, Napoléon revient vers la maison. Le voyant approcher, le soldat lui crie:"on ne passe pas". Puis, comme Napoléon continue à avancer:"Si tu fais un  pas, je te fous ma baïonnette dans le ventre !" Surviennent des officiersqui entraînent le soldat au corps de garde. Ses camarades lui apprennent que c'est à l'Empereur qu'il a refusé le passage et lui font croire qu'il va être fusillé pour cet acte.
Aussi, lorsqu'un officier vient le demander, le soldat s'enfuit. Le plus malin, un de ses compagnons se présente à sa place et se voit accorder par l'Empereur en personne la légion d'honneur pour avoir respecté la consigne. Le protagoniste de cette anecdote authentique se nommait Jean-Baptiste Coluche. Né à Gastins, au nord de Nangis (Seine et Marne), le 30 mars 1780, conscrit en 1801 au 17e régiment d'infanterie, il prit part aux campagnes de Prusse, de Pologne, d'Allemagne, de Portugal et d'Espagne, fût blessé à Wagram et à Arcis-sur-Aube. Son absence d'instruction et, sans doute aussi, son mauvais caractère, firent qu'il n'eut aucun avancement et quitta l'armée à la chute de l'Empire, toujours simple soldat et sans la légion d'honneur qui aurait dû lui revenir.
Il reprit son métier de vigneron, puis devint aubergiste à Gastins, à l'enseigne de "on ne passe pas", et y mourut le 2 mai 1867. Entre temps, la légende napoléonienne avait propagé son histoire, un gravure de Charlet, des faïences de Montereau et d'innombrables images et objets l'avait popularisée.
Napoléon III le reçut, lui remit enfin la Légion d'Honneur et y ajouta la médaille de Saint-Hélène.

Réf:  Napoléon Ier n°27 p5
http://archives.seine-et-marne.fr/jean-alexandre-coluche-1780-1867
http://lesapn.forumactif.fr/les-anonymes-f181/coluche-jean-baptiste-grandier-du-17eme-de-ligne-t1314.htm



A vous la main...

[Belliard]

Merci pour cette histoire bien singulière Cdt Bussy...

La fin est heureuse et c'est temps mieux.. 

[baurya]

Officiers comme ses frères, il a dû mettre fin à sa carrière militeire prématuremment.
Il  se trouva un peu dépourvu quand à la vie civile il fut revenu.
Il charcha un cautionnement pour son nouveau poste.

Napoléon lui avança les fonds argumentant que "son cautionnement était déposé sur la champ de bataille de ..."

De qui s'agit il et de quelle bataille est il question ?

[tof]

Bonsoir !


Est-ce Hercule Corbineau ?

"avec sa jambe de bois sur le champ de bataille de Wagram"

[baurya]

visiblement, question facile.

Bien joué.

A vous