Auteur Sujet: la Garde Impériale  (Lu 18379 fois)

Hors ligne porret de morvan

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 128
Re : la Garde Impériale
« Réponse #30 le: 24 août 2009, 16:53:49 pm »
site:

http://fr.wikipedia.org/wiki/1er_R%C3%A9giment_de_grenadiers_%C3%A0_pied_de_la_Garde_imp%C3%A9riale

Une des plus valeureuses unités de combat
Ce régiment, ainsi que le 1er Chasseurs peuvent être qualifiés de plus valeureuse des unités de combat des guerres napoléoniennes et parmi l'une des plus valeureuses de tous les temps. Les hommes composant ce régiment avaient des années de services derrière eux ce qui fait qu'ils étaient immunisés aux horreurs de la guerre et avaient fatalement participé à de nombreuses campagnes. La plupart de ses soldats combattaient déjà durant la première coalition.

Du Soleil d'Austerlitz au crépuscule de Waterloo, ces braves parmi les braves, ces héroïques guerriers n'ont jamais reculé devant l'ennemi. À la retraite de Waterloo, le 1er Grenadiers ne recula que parce que Napoléon le lui ordonna.

À Waterloo, quatre sur dix sont légionnaires (récipiendaires de la légion d'honneur). Presque tous ont plus de quatorze ans de service et les soldats à trois brisques n'y sont pas rare (la brisque est un chevron qui se porte sur la manche entre le coude et l'épaule, chacune d'entre elle indique que son possesseur a effectué sept ans de service).


Bataille de Waterloo
A Rossome, les deux impressionnants carrés du 1er Grenadiers de la Garde font blocs. C'est le corps d'élite de la Garde, l'élite de l'élite, la crème de la crème, vous diront les Anglo-saxons.

Le régiment a pris position devant la maison Decoster à gauche et à droite de la route.

Autour d'eux, le sol est jonché de cadavres et de chevaux d'imprudents ennemis venus provoquer ces briscards. Il y a aussi des cadavres de Français qui voulaient chercher protection à l'intérieur des carrés. La sûreté des carrés est à ce prix. "Nous tirions sur tout ce qui se présentait, amis ou ennemis, de peur de laisser rentrer les uns avec les autres, c'était un mal pour un bien" dira le Général Petit, commandant ce régiment. Les carrés sont débordés par la droite ou par la gauche, toutes les charges ennemies sont repoussées.

Ces deux bataillons tiennent tête à deux armées. L'Empereur qui à un moment a trouvé refuge dans l'un de ces carrés, ordonne de quitter la position. Le 1er Grenadiers commence sa retraite couvrant les arrières du fantôme de l'armée. Il s'arrête tous les 200 mètres environ pour rectifier la face des carrés et pour repousser l'ennemi qui depuis un moment hésite de plus en plus à charger ces redoutes vivantes. Qu'importe, ils sont victorieux. La bataille est presque terminée, et personne n'a envie d'en être le dernier mort. L'empereur va rejoindre le 1èr bat. du 1er chasseurs de Duuring, apprend qu'il à repoussé une attaque Prussienne qui visait à couper la retraite de l'armée. Il lui ordonne de suivre la colonne en marche, et de ce placer juste avant les grenadiers, qui ferment la marche. Plus tard, les Grenadiers du 1er de la Garde se mirent en colonne par section, l'ennemi n'osant plus l'attaquer. Blessée à mort, la Garde l'impressionne toujours. L'épopée militaire Impériale vient de s'achever.

Hors ligne porret de morvan

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 128
Re : la Garde Impériale
« Réponse #31 le: 24 août 2009, 16:57:44 pm »
voir lien:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Combats_de_Plancenoit

la bataille qui c'est déroulée a Plancenoit.

Hors ligne porret de morvan

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 128
Re : la Garde Impériale
« Réponse #32 le: 24 août 2009, 17:00:06 pm »
"histoire d'un conscrit de 1813-
Waterloo
de:Erckmann-Chatrian

(un extrait.)

Et la nuit approchait... Le grand champ de bataille derrière nous se vidait ! ... A la fin, la grande plaine où nous avions campé la veille était déserte, et là-bas la vieille garde restait seule en travers de la route, l'arme au bras : tout était parti, à droite contre les Prussiens, en face contre les Anglais !
Nous nous regardions dans l'épouvante. Il faisait déjà sombre, lorsque le capitaine Florentin parut au haut de l'échelle, les deux mains sur le plancher, en nous criant d'une voix grave : “ Fusiliers, l'heure est venue de vaincre ou de mourir ! ”

Je me rappelai que ces paroles étaient dans la proclamation de l'Empereur, et nous descendîmes tous à la file. Il ne faisait pas encore tout à fait nuit, mais dans la cour dévastée tout était gris et les morts déjà roides sur le fumier et le long des murs. Le capitaine nous rangea sur la droite de la cour, le commandant de l'autre bataillon rangea ses hommes sur la gauche; nos tambours résonnèrent pour la dernière fois dans la vieille bâtisse, et nous défilâmes par la petite porte de derrière dans le jardin; il fallut nous baisser l'un après l'autre. Dehors, les murs du jardin étaient balayés. Les blessés, le long des décombres, se bandaient l'un la tête, l'autre la jambe ou le bras ; une cantinière avec sa charrette et son âne, un grand chapeau de paille aplati sur le dos, se tenait aussi dans ce recoin; je ne sais pas ce que cette malheureuse était venue faire là. Plusieurs chevaux abattus de fatigue, la tête pendante, couverte de boue et de sang ressemblaient à de vieilles rosses.

Quelle différence avec le matin ! alors les compagnies arrivaient bien à moitié détruites, mais c'étaient des compagnies. Maintenant la confusion approchait ; il n'avait fallu que trois jours pour nous réduire au même état qu'à Leipzig au bout d'un an. Le restant de notre bataillon et de l'autre formait seul encore une ligne en bon ordre ; et, puisqu'il faut que je vous le dise, l'inquiétude nous gagnait. Quand des hommes n'ont pas mangé depuis la veille, quand ils se sont battus tout le jour, et qu'à la nuit, après avoir épuisé toutes leurs forces, le tremblement de la faim les prend, la peur vient aussi, les plus courageux perdent l'espoir : toutes nos grandes retraites si malheureuses viennent de là. Et pourtant, malgré tout, nous n'étions pas vaincus, les cuirassiers tenaient encore sur le plateau ; de tous les côtés, au milieu du grondement de la canonnade et du tumulte, on n'entendait qu'un cri : “ La garde arrive ! ” Ah ! oui, la garde arrivait. ..elle arrivait à la fin !

Nous voyions de loin, sur la grande route, ses hauts bonnets à poil s'avancer en bon ordre. Ceux qui n'ont pas vu la garde arriver sur un champ de bataille ne sauront jamais la confiance que les hommes peuvent avoir dans un corps d'élite, l'espèce de respect que vous donnent le courage et la force. Les soldats de la vieille garde étaient presque tous d'anciens paysans d'avant la République, des hommes de cinq pieds six pouces au moins, secs, bien bâtis ; ils avaient conduit la charrue dans le temps pour le couvent et le château ; plus tard, ils s'étaient levés en masse avec tout le peuple ; ils étaient partis pour l'Allemagne, la Hollande, l'Italie, l'Egypte, la Pologne, l'Espagne, la Russie, d'abord sous Kléber, sous Hoche, sous Marceau ; ensuite sous Napoléon : qui les ménageait, qui leur faisait une haute paye. Ils se regardaient en quelque sorte comme les propriétaires d'une grosse ferme, qu'il fallait défendre et même agrandir de plus en plus. Cela leur attirait de la considération, c'était leur propre bien qu'ils défendaient. Ils ne connaissaient plus les parents, les cousins, les gens du pays ; ils ne connaissaient plus que l'Empereur, qui était leur Dieu ; et finalement ils avaient adopté le roi de Rome pour hériter de tout avec eux, pour les entretenir et honorer leur vieillesse.

On n'a jamais rien vu de pareil ; ils étaient tellement habitués à marcher, à s'aligner, à charger, à tirer, à croiser la baïonnette, que cela se faisait en quelque sorte tout seul, selon le besoin. Quand ils s'avançaient l'arme au bras, avec leurs grands bonnets, leurs gilets blancs, leurs guêtres, ils se ressemblaient tous ; on voyait bien que c'était le bras droit de l'Empereur qui s'avançait. Quand on disait dans les rangs : “ La garde va donner ! ” c'était comme si l'on avait dit: “ La bataille est gagnée ! ” Mais en ce moment, après ce grand massacre, ces terribles attaques repoussées, en voyant les Prussiens nous tomber en flanc, on se disait bien : “ C'est le grand coup ! ” Mais on pensait : “ S'il manque, tout est perdu ! ”

Voilà pourquoi nous regardions tous la garde venir au pas sur la route. C'est encore Ney qui la conduisait, comme il avait conduit l'attaque des cuirassiers. L'Empereur savait bien que personne ne pouvait conduire la garde mieux que Ney ,il aurait dû seulement l'envoyer une heure plus tôt, lorsque nos cuirassiers étaient dans les carrés; alors tout aurait été gagné. Mais l'Empereur tenait à sa garde comme à la chair de sa chair ; s'il avait eu sa garde cinq jours après à Paris, Lafayette et les autres ne seraient pas restés longtemps dans leur chambre pour le destituer ; mais il ne l'avait plus !

C'est donc à cause de cela qu'il avait attendu si longtemps pour l'envoyer. Il espérait que la cavalerie enfoncerait tout avec Ney, ou que les trente-deux mille hommes de Grouchy viendraient au bruit du canon, et qu'il les enverrait à la place de sa garde, parce qu'on peut toujours remplacer trente ou quarante mille hommes par la conscription, au lieu que, pour avoir une garde pareille, il faut commencer à vingt-cinq ans et remporter cinquante victoires ; ce qui reste de meilleur, de plus solide, de plus dur, c'est la garde.
Eh bien ! elle arrivait. ..nous la voyions. Ney , le vieux Friant et trois ou quatre autres marchaient devant. On ne voyait plus que cela ; le reste, les coups de canon, la fusillade, les cris des blessés, tout était comme oublié. Mais cela ne dura pas longtemps, car les Anglais avaient aussi compris que c'était le grand coup ; ils se dépêchaient de réunir toutes leurs forces pour le recevoir .

On aurait dit que, sur notre gauche, le champ de bataille était vide ; on ne tirait plus, soit à cause de l'épuisement des munitions, ou parce que l'ennemi se formait dans un nouvel ordre. A droite, au contraire, du côté de Frichemont, la canonnade redoublait, toute l'affaire semblait s'être portée là-bas, et l'on n'osait pas se dire : “ Ce sont les Prussiens qui nous attaquent... une armée de plus qui vient nous écraser ! " Non, cette idée nous paraissait trop épouvantable, quand tout à coup un officier d'état-major passa comme un éclair, en criant : “ Grouchy ! ...le maréchal Grouchy arrive ! ”

C'était dans le moment où les quatre bataillons de la garde prenaient à gauche de la chaussée, pour remonter derrière le verger et commencer l'attaque. Combien de fois depuis cinquante ans, je me suis représenté cette attaque à la nuit, et combien de fois je l'ai entendu raconter par d'autres ! En écoutant ces histoires, on croirait que la garde était seule, qu'elle s'avançait comme des rangs de palissade et qu'elle supportait seule la mitraille. Mais tout cela se passait dans la plus grande confusion ; cette attaque terrible, c'était toute notre armée, tous les débris de l'aile gauche et du centre qui donnaient, tout ce qui restait de cavalerie épuisée par six heures de combat, tout ce qui pouvait encore se tenir debout et lever le bras: c'était l'infanterie de Reille qui se concentrait sur la gauche, c'était nous autour de la Haie-Sainte, c'était tout ce qui vivait encore et qui ne voulait pas être massacré.

Et qu'on ne vienne pas dire que nous avons eu des terreurs paniques, et que nous voulions nous sauver comme des lâches, ce n'est pas vrai ! Quand le bruit courut que Grouchy venait, les blessés eux-mêmes se relevèrent et se remirent en rang ; on aurait cru qu'un souffle faisait marcher les morts ; tous ces misérables étendus derrière la Haie-Sainte, la tête, le bras, la jambe bandés, les habits en lambeaux et pleins de sang, tout ce qui pouvait mettre un pied devant l'autre se joignit à la garde qui passait devant les brèches du jardin, et chacun déchira sa dernière cartouche. La charge battait, nos canons s'étaient remis à tonner. Sur la côte, tout se taisait; des files de canons anglais restaient abandonnées, on aurait cru les autres partis, et seulement lorsque les bonnets à poil commencèrent à s'élever au-dessus du plateau, cinq ou six volées de mitraille nous avertirent qu'ils nous attendaient.

Alors on comprit que ces Anglais, ces Allemands, ces Belges, ces Hanovriens, tous ces gens que nous avions sabrés et massacrés depuis le matin, s'étaient reformés en arrière, et qu'il fallait leur passer sur le ventre. Bien des blessés se retirèrent en ce moment, et la garde, sur qui tombait le gros de l'averse, s'avança presque seule à travers la fusillade et la mitraille, en culbutant tout ; mais elle se resserrait de plus en plus et diminuait à vue d'oeil. Au bout de vingt minutes, tous ses officiers à cheval étaient démontés ; elle s'arrêta devant un feu de mousqueterie tellement épouvantable, que nous-mêmes, à deux cents pas en arrière, nous n'entendions plus nos propres coups de feu, nous croyions brûler des amorces.
Finalement, toute cette masse d'ennemis, en face, à droite et à gauche, se leva, sa cavalerie sur les flancs, et tomba sur nous. Les quatre bataillons de la garde, réduits de trois mille hommes à douze cents, ne purent supporter une charge pareille, ils reculèrent lentement ; et nous reculâmes aussi en nous défendant à coups de fusil et de baïonnette.

Nous avions vu des combats plus terribles, mais celui-ci était le dernier. Comme nous arrivions au bord du plateau pour redescendre, toute la plaine au-dessous, déjà couverte d'ombre, était dans la confusion de la déroute ; tout se débandait et s'en allait, les uns à pied, les autres à cheval ; un seul bataillon de la garde, en carré près de la ferme, et trois autres bataillons plus loin, avec un autre carré de la garde, à l'embranchement de Planchenois, restaient immobiles comme des bâtisses, au milieu d'une inondation qui entraîne tout le reste ! Tout s'en allait : hussards, chasseurs, cuirassiers, artillerie, infanterie, pêle-même sur la route, à travers champs, comme une armée de barbares, qui se sauve. Le long du ravin de Planchenois, le ciel sombre était éclairé par la fusillade ; le seul carré de la garde tenait encore contre Bulow et l'empêchait de nous couper la route ; mais plus près de nous, d'autres Prussiens de la cavalerie descendaient dans le vallon comme un fleuve qui passe au-dessus de ses écluses. Le vieux Blücher venait aussi d'arriver avec quarante mille hommes ; il repliait notre aile droite et la dispersait devant lui.

Qu'est-ce que je peux vous dire encore? C'était le débordement... Nous étions entourés partout ; les Anglais nous repoussaient dans le vallon, et dans le vallon Blücher arrivait. Nos généraux, nos officiers, l'Empereur lui-même n'avaient plus d'autre ressource que de se mettre dans un carré ; et l'on dit que nous autres, pauvres malheureux, nous avions la terreur panique ! On n'a jamais vu d'injustice pareille. Je courais sur la ferme, avec Buche et cinq ou six camarades ; des obus roulaient autour de nous en éclatant, et nous arrivâmes comme des êtres égarés, près de la route où des Anglais à cheval passaient déjà ventre à terre, en se criant entre eux : “ No quarter ! no quarter ...

Dans ce moment, le carré de la garde se mit en retraite ; il faisait feu de tous les côtés pour écarter les malheureux qui voulaient entrer ;
les officiers et les généraux seuls pouvaient se sauver. Ce que je n'oublierai jamais, quand je devrais vivre mille ans, ce sont ces cris immenses, infinis, qui remplissaient la vallée à plus d'une lieue, et tout au loin la grenadière qui battait comme le tocsin au milieu d'un incendie ; mais c'était bien plus terrible encore, c'était le dernier appel de la France, de ce peuple courageux et fier, c'était la voix de la patrie qui disait : “ A moi, mes enfants ! je meurs ! ” Non, je ne puis vous peindre cela !... Ce bourdonnement du tambour de la vieille garde au milieu de notre désastre était quelque chose d'attendrissant et d'épouvantable. Je sanglotais comme un enfant ; Ruche m'entraînait, et je lui criais : “ Jean, laisse-moi. ..nous sommes perdus... nous avons tout perdu !... "

Hors ligne Chasseur Patatra

  • Sergent
  • *
  • Messages: 23
Re : Re : la Garde Impériale
« Réponse #33 le: 09 septembre 2009, 19:11:28 pm »
site:

Du Soleil d'Austerlitz au crépuscule de Waterloo, ces braves parmi les braves, ces héroïques guerriers n'ont jamais reculé devant l'ennemi. À la retraite de Waterloo, le 1er Grenadiers ne recula que parce que Napoléon le lui ordonna.

Hum hum ... ils furent tout de même largement aider par le plomb des britons.
Ce qui n'enlève en rien de la qualité de ces Messieurs de la Garde.
Make me sure my head will grow again. Won't it ?

Picton, le 18 juin 1815

Hors ligne porret de morvan

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 128
Re : Re : Re : la Garde Impériale
« Réponse #34 le: 10 septembre 2009, 21:55:17 pm »
Hum hum ... ils furent tout de même largement aider par le plomb des britons.
Ce qui n'enlève en rien de la qualité de ces Messieurs de la Garde.

si l'empereur avait décidé de rester sur place,ils seraient restés,ils n'ont fait qu'obeir a leur chef.
ex,le 2e chasseurs est resté pour laisser le temps a L'Empereur de s'éloigner du champ de bataille,ils se sont sacrifier jusqu'au dernier,en fonçant sur l'ennemi,dans les rangs les plus épais...
je cite un extrait:
...leur charge fut térrible,tout plia devant eux,mais leur course ne pouvait etre longue...etc...

voila le genre de soldats qu'est la Vieille Garde.

ils font partie des troupes parmi les plus valeureuses de l'histoire,et je ne doute pas un instant qu'ils seraient resté si l'ordre leur avait été donné.
autre ex ,la Garde devant les Guards de Mailtland,,malgré le carton (300 morts) d'un coup,ils ont avancé comme l'a dit un historien anglais,d'un pas mécanique,comme indifférend a tout...

les soldats de la Garde était pris parmi les plus braves que les braves avaient signalés...

pour information,un soldat français,témoin de ces combats a dit que le 1er regiment agissait comme s'il avait été a l'excercice,face a l'ennemi.

j'espere vous avoir éclairé sufisament sur ces troupes là... ;)
« Modifié: 11 septembre 2009, 19:47:30 pm par porret de morvan »

Hors ligne Suchet

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 107
Re : la Garde Impériale
« Réponse #35 le: 01 novembre 2009, 12:07:23 pm »
J'émets un  doute tout de même sur la valeurs de la garde russe.

La jeune Garde à detruit la garde russe de 1813. Je ne pense pas qu'elle aurait eu le même effet l'année précédente.

La Jeune garde contre les grenadiers des régiments Préobrajenski, Séménovski ou Ismaïlovski de 1812... :roll:
« SOLDATS, je vous ramènerai en France; là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire, "J'étais à la bataille d'Austerlitz", pour que l'on réponde, « Voilà un brave  » Napoléon 1er

Hors ligne Suchet

  • Capitaine
  • **
  • Messages: 107
Re : Re : Re : la Garde Impériale
« Réponse #36 le: 01 novembre 2009, 13:00:33 pm »
Hum hum ... ils furent tout de même largement aider par le plomb des britons.
Ce qui n'enlève en rien de la qualité de ces Messieurs de la Garde.

Sauf que là, il s'agit du 1e Grenadiers.
« SOLDATS, je vous ramènerai en France; là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire, "J'étais à la bataille d'Austerlitz", pour que l'on réponde, « Voilà un brave  » Napoléon 1er