Ah! La Belgique, ces deux langues, ces acteurs, ces mornes plaines mais surtout c'est surtout ses bières^^, que j'aime.
Selon moi, il n' y a jamais eu de défaite, la preuve un aperçue d'un futur rapport de bataille^^
.(Ce n'est qu'une première version non achevée de l'introduction)
Voilà un nouveau rapport de bataille en attendant la traduction de mon petit didacticiel. Bien; ayant fait le tour des différentes bataille fournies avec le jeu et voulant exploiter le potentiel du logiciel, j'ai décidé d'en créer une avec l'éditeur de carte et d'ODB. Oui, mais voilà quelle époque choisir, le début, le milieu ou la fin de l'empire? Étant au moi de juin, j'ai choisi cette funeste période, celle de 1815 pour toile de fond. Alors, va pour l'été 1815, oui mais où, et avec quelles armées? Là était toute la question. Plutôt que de générer aléatoirement cette bataille en fonction de la date, j'ai choisi quelque chose de plausible.
Il m'a fallu pour cela, réécrire l'histoire de cette campagne, afin d'avoir une rencontre qui tienne la route. Mais commençons par le début.
Juin 1815, l'Europe des rois soutenu par l'Angleterre, s'est de nouveau dressé contre Napoléon, le déclarant: hors la loi des nations. Les troupes alliées n'ayant pas encore regroupées leur force, c'est dans une brèche laissé par les anglais et les prussiens que l’empereur va s’engouffrer.
Le 16 juin 1815, les première batailles ont lieu, une, aux Quatre Bras qui verra l'impuissance de Ney à enlever cette position dès le matin, et l'autre à Ligny qui verra la destruction d'une partie de l'armée prussienne grâce à l'arrivée sur le champs de bataille du 1er corps de d'Erlon, dans le courant de l'après midi. Ainsi que la capture dans la soirée du Feld-Marshall Blucher par les hommes du 9ième régiment des cuirassiers. Gneisenau ne sachant ce qu'est devennu son chef décide quand même de retraité avec les débris de l'armée, sur Wavre et d'y attendre le 4ème corp de Bulow. Afin d'aider les anglais contre les français.
Le 17 juin 1815 verra une faible poursuite des armées alliées, premièrement de la part de Grouchy qui ne sachant pas exactement vers quelle direction ont retraité les prussiens enverra les corps de cavalerie de Pajol dans la mauvaise direction. Seul les corps de Gérard et d'Exelman seront présent le lendemain à Wavre.
Quant à celle concernant les anglo-alliée, elle leur laissera le temps de se positionner sur le plateau du mont st Jean dans une position défensive qu'affectionne le duc de fer.
Le 18 juin 1815, deux bataille qui feront date dans l'histoire de l'empire, la première à Wavre où le corps de Gérard aidé de celui d'Exelman, arrivera à fixer le troisième corps prussien sur la Dyle. Tandis qu'à Waterloo, l'action du corps de Vandame situé à gauche du dispositif de l'armée française fera la différence, malgré les erreurs de Jérôme, Rielle, d'Erlon et de Ney. La garde y écrira une de ses plus belle pages d'histoire contre le corps de Bulow.
Le 19 juin 1815, le Maréchel Vandame, celui-ci reçu son baton la veille sur le champs de bataille accompagné du titre de Duc de Waterloo (cela fait depuis Austerlitz qu'il courait après le maréchalat^^), reçu l'ordre de poursuivre les anglo-alliés avec son corps d'armée et celui de Lobeau. Le corps d'Exelmans situé à Wavre, devant le rejoindre beaucoup plus tard. Napoléon quant à lui envoya les 1er et 2ème corps ainsi que les corps de cavalerie poursuivre les restes de l'armée prussienne qui mettra bas les armes quelques jours plus tard grâce à l'enclume que forme les corps de Gérard et d'Exelman et à l'intervention du corps de cavalerie de Pajol qui au passage arrivera à capturé l'état major de ladite armée.
Le 22 juin la messe était dite, les anglais se précipitaient vers ports du nord, Vandame aux trousses, tandis que les armées française sous le commandement de Napoléon, se reposaient après cette courte campagne.
Les alliés atterrés par cette double défaite, ne savent plus trop quoi faire. En plus un trou béant s'est crée sur leur droite. Le seul corps prussien encore en place à ordre de se porter sur la dite droite du dispositif allié en attendant les russes en pleine formation en Allemagne. Les plans de campagne mise en place par la coalition s'en trouvent complètement changé, alors que les russes devaient avec les autrichiens marcher directement sur Paris, les voilà dirigé vers la Belgique pour compenser la perte de deux armées. La belle entente, de l'alliance des nations du début de campagne commence à montrer des signes de faiblesse. Les russes et les autrichiens reprochant aux anglais la manière précipitée avec laquelle ils ont rembarqué vers l'Angleterre. Quant aux prussiens, à part un corps d'armée, ils ne pourront revenir dans cette campagne qu'au bout de quelques mois, le temps pour eux de refaire une nouvelle armée opérationnelle et encore avec leur état major capturé, il trainent des pieds arguant des problèmes de logistique.
Bref, cela commence à tanguer dans le navire du congrès de Vienne, les autrichiens sous l’impulsion de Metternich afin de préserver un semblant d'unité, décident d'agir sans attendre un rétablissement du front, ils décident donc de franchir le Rhin en deux points, aux nord un peu au-dessus de Strasbourg et au sud entre la frontière suisse et française.
Juillet 1815, pendant que les russes arrivent en Belgique, les autrichiens ont franchi le Rhin, et ont dû pour cela scinder leur force en deux, l'une commander par archiduc Jean au nord, l'autre commander par Schwarzenberg au sud. Les retards d’exécution de ce plan bâtie à la hâte, laisse tout le temps à Napoléon de réorganiser son armée et fonce sur les autrichiens. L'archiduc Jean se dirige vers Metz afin de capturer la cité et ainsi sécuriser sa ligne de ravitaillement avec l'Autriche. Rapp sous la pression des deux armées autrichienne recule tout en laissant des hommes dans les différentes place fortes sur leur chemin afin d’immobiliser une partie de leur force.
14 Juillet 1815, Napoléon rencontre l'archiduc Jean devant Metz.