Le maréchal, déçut du comportement d'un bataillon d'infanterie, lui fit faire demi-tour et le remit face à l'ennemi. Ensuite, posément, indifférent aux boulets qui roulaient autour de lui et à la colonne russe qui s'avançait dans son dos, il fit exécuter le maniement des armes comme l'eût fait un sergent dans la cour de la caserne.