Dans Le Médecin de Campagne d'Honoré de Balzac (chapitre III « Le Napoléon du peuple »), on trouve ces passages :
« Mais tous ces gens-là, auxquels Napoléon était prédit, sous le nom de Kébir-Bonaberdis, un mot de leur patois qui veut dire : le sultan fait feu , en ont une peur comme du diable. Alors, le Grand-Turc, l'Asie, l'Afrique ont recours à la magie, et nous envoient un démon, nommé Mody, soupçonné d'être descendu du ciel sur un cheval blanc qui était, comme son maître, incombustible au boulet, et qui tous deux vivaient de l'air du temps. Il y en a qui l'ont vu ; mais moi je n'ai pas de raisons pour vous en faire certains. »
« La vérité du tout est que ses amis l'ont laissé seul dans le désert, pour satisfaire à une prophétie faite sur lui, car j'ai oublié de vous apprendre que son nom de Napoléon veut dire le lion du désert. Et voilà ce qui est vrai comme l'Evangile. Toutes les autres choses que vous entendrez dire sur l'empereur sont des bêtises qui n'ont pas forme humaine. Parce que, voyez-vous, ce n'est pas à l'enfant d'une femme que Dieu aurait donné le droit de tracer son nom en rouge comme il a écrit le sien sur la terre, qui s'en souviendra toujours ! Vive Napoléon, le père du peuple et du soldat ! »
Ce sont très probablement de grosses salades, mais cela a-t-il un rapport avec l'estampe ?