Petit QUIZZZZZZZZ

[lodi57]

Un charivari ou un mousqueton de fantaisie... j'ai un doute  .

Equipement règlementaire confectionné à l'aide de bois, cuir et métal, d'utilité ou de fantaisie, porté par l'officier de cavalerie légère, au quartier, pour le désigner comme étant de service, toujours porté en campagne ou en tenue de parade, on en trouve de différentes couleurs. C'est un contenant.

[Bruguière]

La giberne ? 

[lodi57]

La giberne ? 

Ah  Enfin.

C'est bien le port de la giberne qui distingue, au quartier, les officiers de service.

[Bruguière]

Ouf !!!!!!


Pour une question facile, elle nous a bien causé du soucis celle là......


Mes amis, dites moi ce qui est arrivé à Marbot lors de la bataille d'Iena, et dont il garde un cuisant souvenir ? 

[Pariente]

Un curé avait conseillé à Napoléon de passer par un sentier fort escarpé pour se rendre sur le Landgrafenberg, plateau étroit. Ceci permit aux Français d'avoir un effet de surprise et démoralisateur sur les Prussiens, et de les écraser. Mais les troupes françaises sur le plateau durent passer la nuit massés les uns contre les autres sur cet étroit plateau. Ils durent dormir debout, ou quelque chose de ce goût-là, et après, l'Etat Major arrivé à Weimar ne trouva rien à manger après avoir passé une journée à suer, une nuit debout, et une journée à combattre...

Est-ce là la mésaventure de Marbot dont vous parlez ?

[Bruguière]

Non mon ami, ce n'est pas celle là que j'attends.............

[tof]

Ne serait-ce l'histoire d'un moulin?

[Bruguière]

Point de moulin.............

[Pariente]

Au moment où Augereau chargeait les Saxons, il envoya Marbot pour faire charger la brigade de chasseurs Durosnel. Une fois les ennemis en déroute, il rencontre un officier hussard vêtu en blanc avec qui il se bat, et qui se rend à Marbot. Ce dernier lui rend son sabre et lui permet de monter à cheval, et il lui demande de le suivre car il est son prisonnier. Arrivé à cinq cent mètres des chasseurs, en direction du maréchal Augereau, auquel il voulait lui montrer sa belle prise, l'officier saxon dégaine et blesse le cheval de Marbot. Le brave Français se jette sur lui bien que n'ayant pas son arme et comme leurs corps sont collés, le saxon ne peut pas se servir de son épée. Il l'attrape donc par l'épaulette et le tire violemment vers le bas : Marbot a une jambe en l'air et la tête en-dessous de sa selle. Le Saxon rejoint les débris de son armée en fuite.

Marbot tenta de le rattraper mais c'était trop tard. Une telle ingratitude envers la magnanimité le rendit fou de rage, d'autant qu'il comptait briller aux yeux d'Augereau et que sa position cul par dessus tête l'humilia.

[Bruguière]

Bravo mon jeune ami !!!!!

  A vous la main..................................

[Pariente]

Merci mon colonel, à plus de deux cent ans, vous n'êtes pas mal non plus.

Il a toujours été à sa place, c'est-à-dire nulle part.

De qui s'agit-il ?

[tof]

un indice?

[Pariente]

Un indice ?

Que nenni, mon ami ! Allez, allez, la réponse est simple. La question par contre...

[tof]

je dirais  Mulder ou david vincent

[lodi57]

Si tu fais référence à quelqu'un qui était là où ses ordres initiaux lui demandaient d'être alors que l'évolution de la situation aurait exigé qu'il soit où on avait besoin de lui, je vois trois réponses possibles :

Bernadotte, Grouchy ou d'Erlon ; sachant que le seul des trois qui cumule ce genre de situation est Bernadotte.