Petit compte rendu de ma première partie.
armées aléatoires pour les deux camps (50CEH) et carte aléatoire (6km de coté).
Je joue le Russe contre la Grande Armée.
Le plan :
Je constitue une énorme batterie d’artillerie qui sera placée au centre. Elle est flanquée de deux corps d’infanterie. Un troisième corps d’infanterie, de la Garde, reste en arrière comme réserve.
Je constitue deux ailes de cavalerie, mix d’artillerie à cheval et de lanciers.
Ma batterie du centre devra nettoyer le terrain, et progressera au fur et a mesure. Les unités montées sur les flancs tenteront d’envelopper les ennemis au centre et se replieront en cas de résistance.
Acte I : 8h00 – 10h30 Ouverture par l’artillerie.
La première partie de mon plan se déroule à merveille, mes unités de flanc avance, puis dès que le contact est établi se mettent en position. L’artillerie à cheval repousse les unités ennemies, et quand ces dernières font mines de s’en prendre à elles, mes cavaliers viennent à la rescousse.
Une fois mes ailes suffisamment avancées, je fait progresser la grande batterie du centre ainsi que mon infanterie.
Acte II : 10h30 – 13h00 Contre attaque !
Alors, ils sont où ces grognards ?
La réponse est : au sud !
Une forte attaque d’infanterie stoppe ma progression au sud, je doit me replier, non sans avoir perdu une de mes unités d’artillerie et un régiment de lanciers à cheval, dur revers …
Quelques régiments adverses s’infiltrent par cette brèche, un de mes régiments d’infanterie tente de s’interposer entre les français et mon artillerie menacée, ils sont balayés. Il faut l’intervention d’un deuxième régiment pour repousser l’ennemi. Le Sud sera désormais juste un flanc refusé.
Au centre et au nord, les feux croisés de mon artillerie massacrent les français, quelques contre attaques de lanciers polonais et de cavaliers de la Garde Impériale sont assommés par l’artillerie avant de venir se faire tuer par mon infanterie.
Un de mes régiments de lanciers montés commettra la foie de charger une batterie adverse, par chance il la détruira avant d’être repoussé à son tour. Leur commandant va m’entendre !
Acte III : 13h00 – 14h30 Le coup de grâce
Le rouleau compresseur de mon artillerie continue de repousser toujours plus en arrière les Français.
Mon infanterie de l’aile nord, gardée intacte pour l’occasion, déclenche enfin le coup de boutoir qui enfonce les dernières lignes adverses, composées de régiments portugais démotivés par plusieurs heures de bombardement.
Victoire !!
Voici le déroulement (en gros) de cette partie