Plan offensif sur Austerlitz et ses conséquences

[Chaos]

Le deuxième lui à une vocation purement offensive, avec les corps de: Soult au complet, d'Oudinot en soutien direct, Murat et la garde en soutien "indirect".Davout et  Lannes formant la gauche tandis que Bernadotte couvre le centre.

Un plan reste un plan même s'il est bien conçu, c'est sa compréhension et sa réalisation qui sont importantes, la pratique contre la théorie.

Oui et c'est pour cela que je vous fait part de la suite des évènements. Sachant que cette partie a été jouée avec les règles du Tournois. Et qu'à partir d'un taux de pertes de 40 CEH, l'I.a à tendance à faire rétrograder ses troupes.
Donc une  heure après le début des combats voilà ce que cela donne. Soult à fort à faire, au moins trois corps de bataille sont sur son chemin. Avec visiblement la réserve de cavalerie de Liechtenstein. Au Sud Lannes a pris position autour de Sokolitz.



La suite au prochain numéro.  (je dois partir au boulot)

[Chaos]

Au nord l'action devient générale, Soult doit faire face à 4 corps dont celui de Liechtenstein, le soutient d'Oudinot de Murat et Bessières va se révéler décisif, malgré les pertes énormes en cavalerie. Voyant le danger représenter par l'attaque russe Bernadotte est envoyé soutenir Soult et contre-attaquer.






Pendant plus de deux heures, attaques et contre attaques vont se succéder au nord, ou l'aussaut de Bernadotte va se révéler décisif. Et ce,  malgré le manque de cavalerie fraiche qui aurait pu accélérer la fuite des austro-russes.




Voilà la messe est dites, les pertes CEH des alliés avoisinent les 40%, et l'I.A va commencer son mouvement rétrograde.

[Chaos]

Pas de commentaires?

[Belliard]

Belle démonstration Monsieur le Directeur, nous pouvons observer ici toute l’efficacité d'une attaque bien mené, la coordination des corps entre eux, la gestion du soutient, le micro management ainsi que les points stratégiques de défenses.

Autant de choses qui construisent la victoire.

[Chaos]

Avec le recule, je me dit que j'aurais dû garder l'équivalent d'une brigade de cavalerie, en réserve au nord, prélevée sur le corps de Murat. Celle-ci aurait apporté un plus, pendant la poursuite de l'armée alliée.

[Belliard]

C'est souvent une faute que je fait, je ne garde jamais assez de cav pour la fin de partie, pris entre la tentations d’appuyer mes troupes et celle de semer la panique chez adversaires, ma décision est souvent prise trop tôt et je me retrouve fort dépourvu  au moment ou j'en aurais besoin.

Le principe qui se dégage est que, la réserve de cav doit rester la réserve de cav...