Pour le plaisir des yeux/Pleasure for eyes

[D.C. Parquin]

Bravo TOF,  une trés étonnante touvaille ....J'admire cette inlassable curiosité mais je crains que ça se perde un peu avec l'age 

Il n'y a pas que la curiosité qui se perde  , je vais, ici, fermer ma boîte à discours et vous souhaiter à toutes et à tous, une bonne fin d'année 2011 et à l' année prochaine, si vous le voulez-bien

[Bruguière]

Très chouette merci beaucoup !!!!

[D.C. Parquin]

Bonne Année 

[tof]

Chat, insecte, photos diverses ................NAPOLEON et  son NOM ses hommes

[tof]

Bis

[oster1815]

Cf  le QUIZZZ :
J'ai sans doute été un peu dur, mon cher TOF, mais il y a polemique autour de ce siege et des piéces employées : Napoléon,  et donc Soult et Victor, étaient hostiles à l'emploi de gros mortiers  ( rappelons  que les projectiles devaient franchir un bras de mer assez large ) la solution retenue fut  celle de l'obusier - mais tirant des obus pleins -, les méches s'éteignant ou explosant au dessus de l'eau...Quand aux canons, ils n'avaient pas la portée.

Il fallut donc improviser avec ces obusiers,  celui du siége de Cadix fut  une amélioration d'une piece française que vous avez surement cotoyée en faisant vos photos de canons....vous étiez donc doublement proche 
Il semble que 6 (ou 8 ) pieces furent fondues à l'arsenal réputé de Séville, mais il y eut peut-être du sabotage ....

Voici  l'obusier de Villantroye qui servit de modele   

[tof]

Merci mon cher Oster pour vos explications 

[D.C. Parquin]

Excellent exposé, cher "Oster", et dans le fil qui convient...

[tof]

Constructions sous   la premiere republique , Bonaparte/le premier consul/Napoléon


-1802 Le canal saint-Martin                  Gaspard de chabrol  (puis le projet est relance sous Louis XVIII ingenieur Pierre-Simon Girard)

-1802 Le canal de L'Ourcq               année d'ouverture  1822 , 96,6 km de long 


-Le pont des Arts                      construction 1801/1803 le passage suppose le paiement d'un péage
                                                        (les péages sont abolis en 1848 )


-Le pont d'Austerlitz           Le 1er ouvrage , construit en 1802/1807  par les ingenieurs  Becquey          de   Beaupré et Corneille Lamandé, en 1885 les cinq voûtes sont élargis à 30 metres .
                                                      (son nom avant d'être nommé Austerlitz ??????)

-Le pont de Iena                   Les travaux  de 1808/ 1814

[kiva]

Le chat/chatte en photo est magnifique, presque aussi beau que celui qui m'a adopté 

[tof]

Un felin pour un cavalier 

[tof]

SUITE DES OEUVRES

[tof]

Suite

[D.C. Parquin]

Magnifiques promenades en perspective.

[lodi57]

Cf  le QUIZZZ :
Napoléon,  et donc Soult et Victor, étaient hostiles à l'emploi de gros mortiers  ( rappelons  que les projectiles devaient franchir un bras de mer assez large ) la solution retenue fut  celle de l'obusier - mais tirant des obus pleins -, les méches s'éteignant ou explosant au dessus de l'eau...Quand aux canons, ils n'avaient pas la portée.

Il fallut donc improviser avec ces obusiers,  celui du siége de Cadix fut  une amélioration d'une piece française que vous avez surement cotoyée en faisant vos photos de canons....vous étiez donc doublement proche 
Il semble que 6 (ou 8 ) pieces furent fondues à l'arsenal réputé de Séville, mais il y eut peut-être du sabotage ....

"Je vois avec peine qu'on appelle obusier à la Villantroys, ce qui doit être appellé mortier. L'idée d'obus est attaché à ricochet. On doit donc nommer cette pièce mortier à la Villantroys" indiquait Napoléon dans une lettre au ministre de la guerre datée du 28 novembre 1811(Napoléon les appelait également "mortiers de Séville). Ce qui est d'autant plus logique qu'il s'agissait de mortier à la Villantroys dont on avait allongé le fût et qui était équipé d'un affût fixe (ce qui le différencie de l'obusier qui lui est une pièce de campagne sur affût mobile). Le projectile utilisé était donc une bombe. Afin d'améliorer sa portée et sa stabilité, le poids de cette bombe devra être augmenté en y coulant du plomb tout en laissant suffisamment de place pour y introduire la poudre lui permettant d'éclater. En 1813, lors d'essais, on découvrit que le peut d'efficacité -rapportée par les artilleurs- de ce projectile était lié au fait que le plomb coulé avait tendance à se décoller des parois pendant le trajet et a chasser la mèche : la bombe ne pouvait donc plus éclater. A noter que l'énorme logistique nécessaire à l'emploi de ces pièces engagea l'empereur à envisager leur utilisation uniquement pour la défense des place fortes et des ports  .