Mon cher Bruguière,
Il est vrai que nous autres, Slave et Russes de surcroit, n'avons pas les manières de vous autres, braves Français. Nos femmes sont aussi sauvages que nous et demandent à être domptées. Lorsque mon maître, le Tzar bien aimé de notre Sainte Mère la Russie, fera la paix avec votre "Petit Général" je vous montrerai, si vous survivez à nos futurs combats,
les traces de mes accouplements qui couvrent mon corps. Il est vrai que vous seriez surpris et que vous ne résisteriez pas à nos femelles. Heureusement pour votre armée, vos soldats n'envahiront jamais notre sol sacré...!
Gardez vous de la mitraille et de nos cosaques.
Prince Marievsky